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PRESSE

Carmen, Bizet

De Singel - Anvers, Philharmonies de Paris, Cologne et Hambourg, Dortmund Konzerthaus, Teatro réal de Madrid

B'rock Orchestra, dir. René Jacobs, mars 2024

Don José, ici l’excellent François Rougier, porté par la richesse de son timbre et sa diction impeccable dans tous les registres, du désarroi à la vaillance. 

Martine Mergeay, La Libre Belgique

 

Le ténor François Rougier incarne Don José, aveugle à l'amour, machiste potentiel et véritable ordure, avec une persuasion progressive. 

Sofie Taès, De Standaart

 

François Rougier est un Don José aux paroles douces, mais tout à fait capable d'éclats dramatiques avec de merveilleux pianos.

Regine Müller, Rondo magazine

 

François Rougier offre un chant sensible et nuancé dans son air (« La fleur que tu m’avais jetée ») et, dans une posture implorante, il convoque la délicatesse du registre mixte et la fragilité de sa voix de tête. 

Frédérique Epin, Olyrix

 

François Rougier possède de son côté une belle voix de ténor sombre et barytonnal. Ce Don José a de la vaillance et de la souplesse, un caractère à la fois fragile et un peu frustre aussi, qui suscite l’intérêt.

Julia Le Brun, Diapason

 

François Rougier est un José lyrique dans son principe, mais assez puissant dans son éclat dramatique

Markus Schwering, Kölner Stadt-Unzeiger

 

Le ténor François Rougier a chanté Don José, possédé par Carmen, avec un lyrique fondant et une attaque pointue.

Patrick Klein, klassic begeistert

 

Grâce à son phrasé, à ses qualités d'acteur, à cette construction d'un personnage maladroit, trompé et perdant né, grâce au fait qu'il a chanté cette phrase ascendante très difficile de « La fleur » en messa di voce, comme la partition oblige (« et j'étais une chose à toi ») montrant toute la fragilité de l'Œdipe navarrais et grâce à cette scène finale de désespoir absolument pathétique, François Rougier m'a complètement conquise et je dois dire qu’il m'a procuré le plus d'émotion de la représentation. 

Ana García Urcola, Scherzo.es

Belboul, Lacroix / Massenet / Modarresifar

Cie MPDA / Opéra de Reims, février 2024

François Rougier (Sidi-Toupi) élégant ténor qui caractérise toujours profondément les personnages qu’il incarne.

José Pons, Olyrix

L'Opéra de Reims a réuni une bonne équipe avec deux cantatrices d’excellent niveau, la soprano Angèle Chemin et la mezzo Marion Vergez-Pascal ; un ténor plein de verve, François Rougier ; un élégant baryton, Mathieu Dubroca, auquel revient la célèbre « Aubade » ; et Antoine Philippot, qui mène une double carrière de chanteur et d’acteur.

Jacques Bonnaure, Opéra magazine

François Rougier (Sidi-Toupi) et Antoine Philippot (Ali Bazar), hauts en couleur dans leurs emplois respectifs.

Alain Cochard, Concertclassic

Les solistes passent eux aussi, et talentueusement, de la farce orientale (dans laquelle, coincés dans le grand voile, ils réussissent un jeu difficile, réglé au millimètre près, tout en soulignant vocalement leurs « caractères ») à la prise de conscience. Ce sont Angèle Chemin, Mathieu Dubroca, Antoine Philippot, François Rougier, Marion Vergez-Pascal. 

Stéphane Gilbart, Crescendo Magazine

The Carmen Case, Lacroix / Soh / Bizet - Cie MPDA

Théâtre auditorium de Poitiers, mai 2023

Théâtres de la Ville de Luxembourg et Auditorium de l'Opéra national de Bordeaux, janvier 2024

 

Présent dans le groupe de paroles du début, François Rougier / Don José est un ténor aisé, aussi expressif que rayonnant. 

Michèle Tosi, Resmusica

C’est donc à François Rougier que revient l’essentiel de l’air phare “La Fleur que tu m’avais jetée” (...). Le legato et la conduite du souffle allient musicalité et séduction, en contrepoint d’un jeu d’acteur qui met l’accent sur la colère et la violence sourde de son personnage. L’irréparable est proche dans chacun de ses gestes…

Olivier Delaunay, Olyrix

Fantasio, Offenbach

Opéra Comique, décembre 2023

François Rougier est un émouvant et bien-chantant Marinoni.

Romaric Hubert, Première loge

 

Le Prince est flanqué d’un aide de camp (François Rougier) impeccable de drôlerie et de tenue vocale.

Stéphane Lelièvre, Bachtrack

 

Un autre duo, d’hommes cette fois, marque cette représentation. Jean-Sébastien Bou (Prince de Mantoue, baryton) et François Rougier (Marinoni, ténor) forment un vieux couple comique, commentaire sur les relations sociales masculines d’hier et d’aujourd’hui. Pris dans un anti Jeu de l’amour et du hasard, les deux chanteurs mettent leurs voix au service du ridicule et ce, dans une très grande maîtrise technique. Leurs dialogues parlés et chantés sont fluides, sans accros. Dans le très difficile exercice technique du Quintette, ils ne font (presque) plus qu’un tant leur rythme et leur souffle sont en synchronicité. 

Le timbre de Jean-Sébastien Bou est aiguisé, volontairement guindé, et il réussit la prouesse d’articuler ses paroles de manière intelligible, malgré l’entrelacement de sa voix avec celle de François Rougier. Celui-ci adoucit leurs échanges de son timbre plus chaud, qui correspond aussi bien а son personnage, reposant plus sur une tessiture légère que sur le lyrisme de son compagnon. Il en ressort un Marinoni à la voix agile, allègre que le ténor incarne jusqu'au bout. 

Chloé Delos-Eray, Olyrix

François Rougier est irréprochable en Marinoni.

Clément Demeure, Forum Opéra

L’on rit beaucoup de la soumission dévote du brave Marinoni de François Rougier, malmené par le prince hystérique de Jean-Sébastien Bou, comme on salue son très bel « hymne » à « l’habit rose », « la cause d’honneurs qu’on ne me rendra plus ».

Hélène Adam, cult.news

 

Second duo mais masculin, parfait et à l’unisson, le prince de Mantoue/Jean-Sébastien Bou vêtue ancien régime et François Rougier dans les habits Empire de l’aide de camp Marinoni, même si leurs rôles et leur échange d’identité les font paraître ridicules. 

Gilles Kraemer, le curieux des arts 

Aussi désopilant dans le dialogue que remarquable chanteur, Jean-Sébastien Bou est un Prince de Mantoue d’anthologie à qui François Rougier en Marinoni donne une réplique à sa hauteur.

Frédéric Norac, musicologie.org

Don Giovanni aux enfers, Steen-Andersen

Opéra national du Rhin / Festival Musica, sept. 2023

En Faust, Don José, Dante, Paolo, une parque, un démon et un paysan, le ténor François Rougier bénéficie d’un timbre large et d’une tessiture lyrique que viennent sertir un vibrato ample.

Axel Driffort, Olyrix

Dans ses rôles caméléons, le baryton Geoffroy Buffière montre qu’il sait à peu près tout faire et on peut tourner le même compliment au ténor François Rougier.

Catherine Jordy, Forum Opera

On peut saluer l’aisance avec laquelle les six solistes, chacun dans sa tessiture (la soprano Sandrine Buendia, la mezzo Julia Deit-Ferrand, le ténor François Rougier, la basse Geoffroy Buffière…) s’emparent d’une bonne trentaine de rôles.

Benoît Fauché, Diapason

Six chanteurs aguerris et tout terrain (quatre hommes et deux femmes) se partagent les rôles, entre récitatif, dialogues et airs. Dix pour la basse Geoffroy Buffière (Leporello, Charon, Macbeth, l’Ombre de Virgile, etc.), et presqu’autant (Faust, Don José, Dante, Paolo, une parque, etc.) pour le ténor François Rougier.

Michel Tosi, Resmusica

Oratorio de Pâques et Magnificat, Bach

Halle aux grains de Toulouse, juin 2023

 

L’intensité expressive du ténor François Rougier aussi à l’aise dans les récitatifs que dans son bel aria : Sanfte soll mein Todeskummer (Mon chagrin mortel peut maintenant s’adoucir). (…) le ténor déploie un héroïsme impressionnant dans le fameux Deposuit potentes.

Serge Chauzy, Classic Toulouse

Le Domino noir, Auber

Opéra de Lausanne, mars 2023

François Rougier campe un Comte Juliano rusé et astucieux.

Julian Sykes, Le Temps

 

François Rougier, ténor très généreux et présent.

Gian Luigi Bocelli, Le Courrier

 

François Rougier, Comte Juliano raffiné au costume de paon, déclenche des fous rires chaque fois qu’il fait la roue pour plaire.

Claudio Poloni, Concertonet

 

François Rougier est un Juliano qui sait se mettre à l’écart pour jouer les confidents irréprochables avec un abattage scénique que partage la Brigitte de Julia Deit-Ferrand.

Paul-André Demierre, Crescendo magazine

 

François Rougier estuvo excelente como Juliano.

Albert Garrica, Opera actual

 

Juliano (Francois Rougier) ist ein eitler Pfau, der beim Flirt mit den Damen auf dem Maskenball einen eindrucksvollen Pfauenschwanz auf seinem Rücken entstehen lässt. Er strahlt viel Eleganz aus und verfügt über eine gefällige Stimme.

Marcel Emil Burkhardt, Online Merker

La Dame blanche, Boieldieu

Opéra de Limoges, janvier 2023

François Rougier, de retour à Limoges après une récente Princesse Jaune, prête à Dikson son ténor assuré et fringant de timbre, et ses talents de comédien ici prompt à forcer le trait d’un personnage apeuré et un rien ingénu. 

Pierre Géraudie , Olyrix

Quant à François Rougier, il incarne un Dikson généreux et timoré à souhait ; plein de bonne volonté, il se dégonfle assez rapidement et Rougier rend parfaitement les sentiments contradictoires qui se bousculent dans la tête de Dikson.

Hélène Diart, Toutelaculture.com

Le ténor François Rougier impose vite, aussi clair en voix que comique dans tout son jeu, le benêt Dikson comme le personnage le plus sympathique de la petite galerie 

François Cavaillès, Anaclase

Le duo comique composé par François Rougier (Dikson) et Sophie Marin-Degor (sa femme Jenny) est enthousiasmant par une sorte d’inversion des rôles atypique qu’il propose. Monsieur joue les ingénus un peu couard avec une très belle voix de ténor parfaitement conduite quand elle impose une femme portant la culotte au moyen d’un soprano puissant et parfaitement dosé dans ses effets.

Steeve Boscardin, Resmusica

La Princesse jaune et autres fantasmes, d'après La Princesse jaune et Nuit persane de Saint-Saëns Cie MPDA - Alexandra LacroixOpéra de Limoges, nov. 2022

 

François Rougier a ce timbre lumineux bien adapté aux rêveries qu’il est censé traduire, mais doté aussi d’accents lyriques dans les moments exaltés.

Didier Roumilhac , Résonances lyriques

 

François Rougier dont l'intelligibilité et la clarté de la ligne et du texte ne souffrent jamais des intentions nuancées qu’il propose (autant en voix parlée que chantée). Le ténor, en robe de chambre de soie, fait preuve d’une certaine palette de timbres, tantôt tendres, tantôt plus voluptueux.

Emmanuel Deroeux, Olyrix

François Rougier donne beaucoup de relief à Kornélis, collectionneur esthète, enfermé dans son monde, auquel il offre une parfaite diction et une voix de ténor lyrique léger (sic), au phrasé élégant et au registre aigu d'une grande facilité. 

Alfred Caron, Opéra magazine

 

 

Lakmé, Léo Delibes

Opéra Comique, sept.-octobre 2022

François Rougier nous bouleverse dans le mélodrame du serviteur Hadji qui voue à Lakmé un amour altruiste et inconditionnel.

Sophie Bourdais, Télérama

François Rougier, dans le rôle trop court d’Hadji, laisse une nouvelle fois entendre une voix de ténor de haute tenue, avec un phrasé parfaitement maîtrisé et un sens de la nuance plus que certain.

José Pons, Olyrix

Mention spéciale à François Rougier, dont le Hadji au timbre clair, cultivant une fragilité qui lui donne la voix du dévouement, procure aussi une intense émotion.

Jules Cavalié, Avant-Scène Opéra

Une mention aussi pour le Hadji, touchant d’humilité et de vérité, de François Rougier.

François Laurent, Diapason

Mention spéciale au bouleversant Hadji de François Rougier qui, en une scène, conquiert la salle.

Olivier Rouvière, Opéra Gazet

Sans oublier le fidèle Hadji de François Rougier dont l’émouvant dévouement à sa maîtresse est porté par des aigus au legato joliment tissé et aux nuances très appréciées.

Nicolas Mathieu, Première Loge

Dans un drame tel que Lakmé, l’émotion affleure et, grâce au travail raffiné de Laurent Pelly, nous cueille à des moments inattendus comme lors du monologue d’Hadji. Agenouillé devant sa maîtresse, en toute simplicité, François Rougier trouve le ton juste pour toucher.

Hugues Rameau-Crays, Classique c'est cool

Le touchant Hadji de François Rougier.

Marie-Aude Roux, Le Monde

Le Hadji merveilleux de subtilité de François Rougier.

Philippe Venturini, Les Echos

François Rougier campe un très émouvant Hadji. 

Richard Martet, Opéra Magazine

François Rougier campe un Hadji au timbre clair, empli de bienveillance.

Christian Peter, Forum Opéra

François Rougier, déchirant de tendresse pour sa maîtresse dans le rôle d’Hadji.

Olivier Brunel, Concertonet

On citera encore la brève mais très émouvante intervention de François Rougier (Hadji).

Christian Wasselin, webtheatre

Le lumineux François Rougier rend Hadji immensément bienveillant.

Thibault Vicq, Opéra online

François Rougier se démarque par son émouvant mélodrame.

Vincent Guillemin, Resmusica

François Rougier sait apporter toute l’humanité affectueuse d’Hadji.

Paul Fourier, Toutelaculture.com

François Rougier, un Hadji à la ligne de chant très élégante.

Stéphane Lelièvre, Bachtrack

Le toujours impeccable François Rougier (Hadji).

Florent Coudeyrat, Classicnews

Mención especial merece el Hadji de François Rougier, que en una escenita, dando casi la espalda al público, se lleva el gato al agua con su monólogo bien fraseado, bien torneado, y repleto de emoción contenida.

Francisco Leonardo, Mundoclassico.com

François Rougier, che è un sensibile Hadji.

Stefano Nardelli, Giornale della musica

Du renard au gorille, Mécanopéra (public scolaire)

Opéra Comique, octobre 2022

 

François Rougier fait tout du long régner un calme olympien dans la salle, en s’imposant grâce à son timbre puissant, quasi autoritaire, et son incarnation vigoureuse des personnages. Aussi agile dans ses aigus riches que dans ses graves voluptueux, il reste à l’aise en utilisant sa voix de tête dans “Gare au gorille” de Brassens, pour contraster et ajouter encore un peu plus de comique dans cet air déjà hilarant. 

Pablo Lemonnier, Olyrix

Hulda, César Franck

Orchestre philharmonique royal de Liège, mai 2022

François Rougier (Gunnard), toujours aussi impliqué et percutant.

José Pons, Olyrix

François Rougier en Gunnard, et Sébastien Droy en Eynar sont généreux et percutants dans le registre aigu.

Brigitte Maroillat, Forum Opéra

 

On ne saurait trop remercier Sébastien Droy ou François Rougier de jouer aux comprimari de luxe.

Jean-Marc Proust, Lyrik

Marie Gautrot, Ludivine Gombert, Christian Helmer, Artavazd Sargsyan, François Rougier, Sébastien Droy, Guilhem Worms, Mathieu Toulouse n’ont que quelques répliques à chanter, mais ils le font avec tout le talent qu’on leur connaît et parviennent même à donner vie et épaisseur à ce qui, surtout en version de concert, pourrait n’être que de simples silhouettes.

Stéphane Lelièvre, Première loge

La Sirène, Nadia Boulanger

Orchestre national du Capitole, avril 2022

Le ténor François Rougier se caractérise par une diction travaillée et une belle ligne de chant, donnant toute sa ferveur à un chant éloquent.

Charlotte Saulneron, Resmusica

 

 

Concert du 26 mars 1828, Schubert

La Folle Journée de Nantes, janvier 2022

​On a entendu avec bonheur le pianiste Yoan Héreau et le ténor François Rougier, membre de la troupe Favart de l’Opéra Comique. On connaissait ses talents de comédien, on le découvre en magnifique conteur et poète, à l’allemand plaisant et fluide.

Séverine Garnier, Classique mais pas has been

Les Lieder bénéficièrent du velours de la voix du ténor français François Rougier aux couleurs barytonnantes. Il nous a profondément touché dans ce répertoire mélodique. 

André Peyrègne, Forum Opéra 

Les Éclairs, Hersant/Echenoz

Opéra Comique, novembre 2021

Les aigus rayonnants de François Rougier lui permettent de surmonter sans difficulté l'écriture vocale plutôt musclée du rôle de Norman Axelrod.

Alexandre Jamar, Forum Opéra

 

Norman Axelrod, est incarné par le ténor François Rougier dont l’expressivité équilibrée et la voix délicate s'expriment pleinement, notamment lors de son air « Tous les espoirs sont permis ».

Emmanuel Deroeux, Olyrix 

 

Son tendre mari Norman tombe avec facilité dans le gosier bien sonore de François Rougier. 

Benoit Fauchet, Diapason

 

Le savoureux Norman de François Rougier

Pierre Gervasoni, Le Monde

 

François Rougier prête à Axelrod une voix ronde et pleine qui convient bien à la générosité du personnage. 

Hélène Pierrakos, Webtheatre

 

Le ténor François Rougier prête à Norman autant d’élégance que d’humanité.

Sophie Bourdais, Télérama 

 

François Rougier pose avec sensibilité et grande distinction son timbre clair de ténor sur les paroles de Norman.

Jany Campello, Con spirito 

Touchant Axelrod de François Rougier, parfait ténor à la française.

Gérard Condé, Avant-scène Opera

François Rougier brosse un touchant portrait de Norman.

Laurent Vilarem, Opera-online 

 

Le ténor François Rougier est un Norman Axelrod au caractère raffiné.

Bruno Serrou, brunoserrou.blogspot.com

 

L'humanité est plus heureusement incarnée par le couple Ethel et Norman Axelrod - elle, Marie-Andrée Bouchard-Lesieur, délicate et touchante, lui, François Rougier, généreux et désintéressé. 

Philippe Venturini, Les Échos

 

Rougier rayonne. 

David le Marrec, Carnets sur sol

 

Jérôme Boutillier appuie son jeu pour camper le millionnaire Parker, tandis que le ténor François Rougier apporte plus de subtilité au riche Norman Axelrod. 

Vincent Guillemin, Resmusica

 

Pour le couple de philanthropes, soutiens désintéressés de Gregor jusque dans sa déchéance, Norman et Ethel Axelrod, le compositeur a joué sur une vocalité souple (…). La mezzo Marie-Andrée Bouchard-Lesieur et le ténor François Rougier s’y montrent d’une présence irréprochable.

Jean-Guillaume Lebrun, Concert Classic

Synergie, performances musicales et dansées à la Chapelle - Evangile, Paris 18e  

Cie MPDA - Alexandra Lacroix, septembre 2021

Déjà résonnent au loin les vocalises du chanteur lyrique François Rougier, qui vont du grave au suraigu et accélèrent en mouvements chromatiques jusqu’à dévoiler l'un des plus fameux thèmes virtuoses au monde : Le Vol du Bourdon de Rimski-Korsakov. Le simple fait que ce thème synonyme de virtuosité effrénée et vertigineuse ait été confié а un chanteur, est un hommage rendu а son endurance articulatoire qui conserve justesse et précision dans des élans immenses. D'autant plus que la danseuse Ghislaine Louveau le projette et le soulève (et le déshabille), le chanteur assumant aussi une part de comique physique pour ce bourdon.

Olyrix

Les Troyens à Carthage, Berlioz 

Festival Berlioz, aout 2021

 

Le ravissement émane de la prestation des deux ténors incarnant Iopas (Julien Dran) et Hylas (François Rougier). (...) La longue chanson d’Hylas à l’acte 5 prend toute sa mesure avec l’interprétation très inspirée de François Rougier, dont la voix de ténor aux accents mesurés et d’une extrême expressivité touche droit au coeur. 

José Pons, Olyrix

François Rougier fascine dans une Chanson d’Hylas dans laquelle sa voix mixte et ses diminuendi font fondre le public. 

Philippe Manoli, Concertonet

Hylas, le jeune matelot phrygien, est confié à François Rougier. Il donne à sa chanson, qui ouvre le dernier acte, cette simplicité juvénile et cette justesse expressive propre à chaque couplet.

Yvan Beuvard, Forum Opéra

Les deux ténors Julien Dran (Iopas) et François Rougier (Hylas) enchantent aussi par leurs douces interventions, un moment de pure poésie délivré parfois en voix mixte par le premier au cours de l’air Ô blonde Cérès et une merveille de tendre mélancolie, Vallon sonore chanté d’un ferme instrument par le second en début de dernier acte.

F.J., anaclase

Julien Dran et François Rougier redoublent de raffinement pour leurs airs respectifs.

Laurent Bury, Concertclassic

Julien Dran (Iopas) soutient avec bravoure son air du IV (« ô blonde Cérès ») tout comme François Rougier dans la chanson triste du jeune matelot Hylas au début du V. 

Michèle Tosi, Resmusica

Phryné, Saint-Saëns 

Opéra de Rouen / Palazetto Bru Zane, juillet 2021

 

François Rougier et Patrick Bolleire ouvrent le bal avec entrain et un français impeccable.

Guillaume Saintagne, Forum Opera 

François Rougier et Patrick Bolleire ne déméritent pas, rappelant dans la veine comique le duo savoureux Bardolfo et Pistola du Falstaff de Verdi créé la même année 1893.

Patrice Imbaud, Res Musica

On ne peut que saluer Anaïs Constans pour son beau Lampito, tout comme François Rougier (Cynalopex) et Patrick Bolleire (Agoragine, Le Héraut), savoureux l’un et l’autre.

Alain Cochard, Concertclassic

 

En Cynalopex, François Rougier expose une voix mate au grain chaud.

Damien Dutilleul, Olyrix

La voix de ténor fine et délicate de François Rougier répond en pleine concordance à la voix puissante et sonore de basse de Patrick Bolleire.

José Pons, Olyrix 

Le Mystère de la Dame Blanche

Opéra de Limoges / YouTube, février 2021

François Rougier parvient à faire entendre une voix de ténor émise avec assurance, faisant en outre montre d'une réelle aisance scénique.

Pierre Géraudie, Olyrix 

Dikson est un François Rougier bien en voix et excellent comédien.

Stéphane Lelièvre, Première Loge

Chantons, faisons tapage ! 

Opéra Comique / France 5, décembre 2020

François Rougier et Jodie Devos interprètent le duo amoureux "Ange adorable" (Roméo et Juliette de Gounod) avec un lyrisme aussi touchant que travaillé. Le ténor conserve une articulation modèle et sait intensifier son propos amoureux sans tension. La soprano met sa fraicheur vocale au service de la pureté éclatante de ce personnage.

Olyrix

L'inondation, Pommerat / Filidei

Opéra de Rennes, janvier 2020

François Rougier, Nicholas Isherwood et surtout Yael Raanan-Vandor complètent la distribution vocale avec autant d’intensité que de précision.

Tania Bracq, Forum Opéra

La Périchole, Offenbach

MC2 : Grenoble, Opéra royal de Versailles, 2019 

François Rougier est un Piquillo tout aussi lumineux avec sa ligne de chant claire, ainsi que ses intonations précises et justes. Il est un ténor cinq étoiles pour ce rôle.

Elodie Martinez, Opera-online.com

 

Le ténor François Rougier montre toute son aisance en Piquillo (...) avec un legato et des ports de voix langoureux (...) Le public se délecte de sa voix suave et de son sens des nuances.

Claire de Oliveira, Olyrix

Le Piquillo de François Rougier témoigne d’une belle assurance.

Serge Martin, Le Soir

Le triomphateur de la soirée sera pourtant Piquillo. On craignait le retrait de Barbeyrac mais Rougier balaie tout regret : il est Piquillo par l’exact format vocal et la parfaite maîtrise stylistique et interprétative de ce répertoire : sa jouissance est totalement partagée. De plus certainement motivé par la volonté de faire sa place, il ne lésine pas sur les aigus rajoutés (y compris lors du bis aux saluts) et comment s’en plaindre devant une telle aisance ? 

Loïs, ODB

Enregistrement de Raoul Barbe-Bleue, Grétry

Sorti en 2019 au label Aparté

Vergy, en la personne de François Rougier, donne la réplique avec une compréhension musicale et dramatique indéniable de cet ouvrage pourtant rare.

Charlotte Saulneron, Resmusica

Le Vergy de François Rougier possède une jolie voix, une belle ligne de chant, une diction claire, et campe une sœur Anne outrancière à souhait.

Claire-Marie Caussin, Forum Opéra

Très présent et vocalement coloré François Rougier (Vergy, l’amoureux défenseur de la belle Isaure).

Alban Deags, Classiquenews

François Rougier (Vergy) déploie avec panache son beau ténor lyrique.

Jacques Duffourg, Baroquiades.com

As Vergy, François Rougier fields an attractive high, light tenor and acts well with the voice.

Richard Wigmore, Gramophone

François Rougier as Vergy offers a well sung and at times gently humorous portrayal particularly as he has to spend much of Act 2 and 3 in drag. His vocal line is assured and delivered with élan. He thankfully resists the temptation to veer into excessive mugging for the drag portions of the opera.

Mike Parr, musicweb international

La Prise de Troie, Berlioz

Festival Berlioz, août 2019

Boris Grappe s’empare du rôle de Panthée et François Rougier de celui d’Hélénus avec leur talent et leur solidité habituels.

José Pons, Olyrix

Fervaal, d'Indy

Festival Radio France Occitanie Montpellier, 2019

François Rougier (2ème paysan, Le Berger, Le Barde) fait valoir une voix de ténor assise, d’une efficace projection jusque dans l’aigu. 

José Pons, Olyrix

Dans la litanie inégale des seconds rôles, (...) deux ténors se distinguent : François Rougier rayonne dans les brefs rôles du Berger et du Barde tandis qu’Éric Huchet (Lennsmor) mène vaillamment le Conseil des chefs celtes.

Tristan Labouret, backtrack.com

Madame Favart, Offenbach

Opéra Comique, Opéra de Limoges,

Théâtre de Caen, 2019

Hector, campé par le fier ténor François Rougier, dont le priapisme vocal grimpe sans mal à la corde d’une tyrolienne.

Marie-Aude Roux, Le Monde

 

François Rougier, avec lequel Lebègue forme au final un couple de « tyroliens de naissance » lancé dans des yodelisations imparables.

Guillaume Tion, Libération

Le piquant Hector de François Rougier.

Sophie Bourdais, Telerama

 

François Rougier, un Boispréau dynamique.

Philippe Venturini, Les Echos 

Le Boispréau d'un François Rougier projetant loin l'éclat de son clair ténor.

Emmanuel Dupuy, Diapason magazine

François Rougier est la révélation du spectacle et confirme une fois de plus le talent de l’institution parisienne pour dénicher les ténors.

Hugues Rameau-Crays, Classique-c-cool.com 

 

François Rougier (Hector de Boispréau) émet un légato de compétition, des vocalises tyroliennes aériennes et un climat de complétude musicale. 

Thibault Vicq, opera-online.com 

 

François Rougier trouve un rôle où s’expriment ses moyens de comédien autant que l’éclat souple de sa voix. 

Gilles Charlassier, toutelaculture.com

 

François Rougier, dont les aigus conquérants, superbement projetés, font merveille, en particulier dans le duo des Tyroliens à l’acte III.

Jean-Marc Piriou, bachtrack.com 

Comment résister aux phrasés de François Rougier (Boispréau), régal d’intelligence dans l’ironie et l’humour – notamment l’irrésistible tyrolienne au III ?

Florent Coudeyrat, Concertonet

 

François Rougier s’amuse dans le rôle d’Hector, auquel il prête une voix au timbre fleuri, au grain chaud, à l’aigu aisé (qui monte haut dans le duo tyrolien). 

Damien Dutilleul, Olyrix

Une très belle surprise fait la joie de cette production : François Rougier. Cet ancien de l’Académie de l’Opéra-Comique a fait un tel chemin ! Excellent comédien lorsqu’il parle, son timbre lumineux et souple fait merveille quand il chante et on se délecte à l'infini.

Victoria Okada, Crescendo magazine

François Rougier, impayable dans sa tyrolienne aux aigus alpins.

Chantal Cazaux, L’avant-scène opéra 

François Rougier fait montre d’un bel humour et ravit par un timbre avenant qu’il conduit en voix de tête jusque dans les aigus à la Rossini dont est truffée la tyrolienne du dernier acte.

Jean-Pierre Robert, on-mag.fr 

 

L’esilarante tyrolienne nella quale il tenore François Rougier ha esibito una performance memorabile (con dei sovracuti in falsetto spassosissimi) 

Emilio Sala, Amadeus

Carmen, Bizet

Opéra de Paris, printemps 2019

Le Dancaïre de Boris Grappe et Le Remendado de François Rougier sont agiles, prestes, marqués et synchronisés y compris dans les passages les plus rapides et articulés ("Quand il s'agit de tromperie, de duperie, de volerie").

Charles Arden, Olyrix

Les rôles secondaires ont été opportunément distribués à des chanteurs francophones parmi lesquels on remarque tout particulièrement le joliment chantant Boris Grappe, Dancaïre virevoltant et François Rougier impeccable Remendado.

Hugues Rameau-Crays, Classique c'est cool !

 

Jean-Luc Ballestra (Moralès), François Rougier (le Remendado) et Boris Grappe (le Dancaïre) se distinguent par leur émission haute, claire et un français pleinement intelligible.

Stéphane Lelièvre, Olyrix

Quatuor inséparable et parfait vocalement, Gabrielle Philiponet (Frasquita), Valentine Lemercier (Mercedes), Boris Grappe (le dancaïre), Francois Rougier (Le remendado) font des scènes de contrebandiers des véritables moments de théâtre.

Paul Fourier, Toutelaculture.com

Tous les caractères sont très précisément travaillés, comme ceux du Dancaïre (Boris Grappe), du Remendado (François Rougier), Zuniga (François Lis) ou Moralès (Jean-Luc Ballestra).

Les quatre chanteurs excellent eux aussi.

Yves Poey, Delacouraujardin.over-blog.com 

 

 

La Traviata, Verdi 

Opéra de Paris, décembre 2018

François Rougier et Christophe Gay (respectivement Gaston et le marquis d’Obigny), bien chantants et à la présence affirmée.

Stéphane Lelièvre, Olyrix

 

 

Raoul Barbe Bleue, Grétry 

Barokkfest Trondheim, novembre 2018

 

Passant de Tintin à Mary Poppins dans les tenues que lui impose le spectacle, François Rougier assure sans difficulté le rôle de Vergi.

Laurent Bury, Forum Opéra

Isaure’s lover, Vergi, was François Rougier, whose very high and natural tenor was very suited to the part, and his elegance in closing every single musical phrase was remarkable. 

Laura Servidei, Bachtrak

Chantal Santon-Jeffery as Isaure and Francois Rougier as Vergi led the company with conviction.

Jon Jacob, Thoroughly good blog

Les Huguenots, Meyerbeer 

Opéra de Paris, automne 2018

 

François Rougier, en Cossé, livre une voix de ténor émise assez haute. Le timbre est sémillant et largement projeté dans un phrasé travaillé.

Damien Dutilleul, Olyrix

François Rougier et Patrick Bolleire prouvent encore une fois qu'on ne peut guère être plus talentueux.

Christine Ducq, La Revue du spectacle

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